Seasick Steve – Dog House Music


.CRITIQUE/

Ayant quitté le foyer à l’âge de 13 ans, Steven Gene Leach aka Seasick Steve a le temps de s’inventer une histoire et de se forger une expérience solide pour jouer le blues ; dans les années soixante avec des bluesmen puis auprès de Janis Joplin.

Ce premier disque solo dénote par son côté brut et décalé. Seul à la guitare avec des sons un peu « crades » ou « old style » d’où jaillissent parfois des éclairs électriques, Seasick Steve nous convoque tel un chamane. Même si le style ne fait pas dans l’originalité, l’âme du blues originel plane sur son album et restitue un moment de grâce indéniable.
Seasick Steve joue beaucoup en slide et tape du pied comme le firent les pionniers du blues…

Un excellent disque !  Ocollus

Cliquez pour écouter (ci-dessous)

Yellow dog……

Doghouse boogie…..


Dog House Music est le deuxième album de Seasick Steve, et son premier en tant qu’artiste solo. Il est sorti le 27 novembre 2006 ; cependant, des CD prépubliés étaient disponibles à la vente pour les membres de la liste de diffusion de son site.

L’album est presque entièrement interprété par Seasick Steve, à l’exception de la caisse claire sur « Yellow Dog » et de la cymbale crash sur « Fallen Off a Rock », jouées par H.J. Wold (un parent de Steve, dont le vrai nom est Steve Wold), et de la batterie sur la piste cachée par le fils de Steve, P.M. Wold.

L’album a atteint la 37e place du UK Albums Chart, la 1re place du classement des albums indépendants et la 31e place du classement des téléchargements, toutes trois grâce aux ventes réalisées au Royaume-Uni.

Piste cachée
Comme sur son premier album, Cheap, il y a une piste cachée. Sept secondes après la fin de la dernière chanson, « I’m Gone », Seasick Steve raconte une histoire (malgré les plaintes concernant sa façon de raconter des histoires sur Cheap). Il parle d’un chien fidèle nommé Trixie qu’il possédait autrefois. Un jour, il a été arrêté et, à sa libération, sa chienne l’attendait à 60 miles de l’endroit où il l’avait laissée six mois plus tôt. La chienne a eu 12 chiots, dont elle s’est occupée, jusqu’au jour où elle est partie et n’est jamais revenue. Seasick Steve se retrouva alors avec 12 chiots. Cette histoire est suivie d’une chanson, avec Steve à la guitare et son fils P.M. Wold à la batterie, intitulée « 12 Dog Blues ».wikipedia

————————————

Seasick Steve, de son vrai nom Steven Gene Leach, (aussi connu sous le pseudonyme Steven Gene Wold), est un musicien blues américain né à Oakland (Californie) le 19 mars 1951 d’un père pianiste de boogie-woogie et d’une mère au foyer.

Après la séparation de ses parents, Steven reste avec sa mère, qui s’est remariée avec un vétéran de la guerre de Corée. Après une confrontation violente avec son beau-père, il quitte le foyer familial à l’âge de treize ans, poussé par l’envie de voyager et d’échapper à une vie monotone et étriquée.

C’est dans les années 1960 que le futur Seasick Steve commence à fréquenter une bande de bluesmen et côtoie régulièrement Janis Joplin, avec qui il devient ami. Des voyages en Europe, notamment en Norvège, lui font rencontrer celle qui deviendra son épouse et avec qui il aura cinq fils. C’est aussi en Norvège que le pseudonyme Seasick Steve lui est donné par un ami qui remarque que Steve Wold ne pouvait pas monter sur un bateau sans éprouver un sérieux mal de mer. wikipedia

                ————————–
 
  1. « Yellow Dog » – 1:00
  2. « Things Go Up » – 3:34
  3. « Cut My Wings » – 3:23
  4. « Fallen Off a Rock » – 4:31
  5. « Dog House Boogie » – 3:31
  6. « Save Me » – 2:16
  7. « Hobo Low » – 3:49
  8. « Shirly Lou » – 3:39
  9. « My Donny » – 4:02
  10. « The Dead Song » – 3:33
  11. « Last Po’ Man » – 4:08
  12. « Salem Blues » – 3:14
  13. « I’m Gone » – 2:10
  14. « One True » (hidden track) – 11:04[1]

Laisser un commentaire